Lesétablissements publics d'enseignement supérieur ne sont en aucun cas mentionnés, et se situent donc en dehors du champ d'application de la loi sur le voile. Mais ils restent soumis au

Leila Afhim travaillait depuis 2006 au bureau d’études de la Ville de Huy comme dessinatrice. Musulmane, elle a dĂ©cidĂ© il y a un an de porter le voile au travail. En novembre 2015, la Ville de Huy a votĂ© un rĂšglement interdisant le port de tous signes religieux. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s PubliĂ© le 6/05/2016 Ă  1321 Temps de lecture 3 min S i je tiens Ă  raconter mon histoire, introduit Leila Afhim d’une voix douce et posĂ©e, c’est parce que j’estime avoir Ă©tĂ© traitĂ©e de maniĂšre injuste par la Ville de Huy, mais aussi et surtout parce que je veux amener les gens Ă  rĂ©flĂ©chir et Ă  agir de façon Ă  ne pas avoir honte de leur appartenance. Chacun a le droit de s’afficher comme il le souhaite. S’il est chrĂ©tien, il a le droit de porter une croix et s’il est musulman un voile. Pourquoi devrait-on entrer dans un moule ? Être tous identiques ? » Cet article est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Avec cette offre, profitez de L’accĂšs illimitĂ© Ă  tous les articles, dossiers et reportages de la rĂ©daction Le journal en version numĂ©rique Un confort de lecture avec publicitĂ© limitĂ©e Le fil info La Une Tous Voir tout le Fil info

Justela femme que je suis". Éric Zemmour lui a alors demandĂ© d’enlever son voile en direct. Celle-ci lui a rĂ©torquĂ© : " Enlevez votre cravate, j’enlĂšve mon voile". Chiche, lui a-t-il
DĂ©butPage prĂ©cedentePage suivanteFin En quoi ça te dĂ©range l'auteur qu'une femme musulmane mette son voile ? Le 11 novembre 2015 Ă  010906 dons52 a Ă©crit Le 11 novembre 2015 Ă  010752 Toto-du-37_bis a Ă©crit Je me balade pas h24 sur JVC dsl. Mais le FN a ses n'a aucune chance, regarde autour toi, la politique les mĂ©dia, les artiste, c'est eux qui dirigent l'avenir, et il est tout tracĂ©tu es bien naif . on peux avoir 1000 fois une personne , pas 1000 fois la meme personne En tout cas si le FN ne passe pas on va etre dans une sacrĂ©e merde. Le 11 novembre 2015 Ă  011121 Ermac94 a Ă©crit En quoi ça te dĂ©range l'auteur qu'une femme musulmane mette son voile ?T'aimera je me balade pres de chez toi en cagoule ? T'Ă©tais dans ton droit, c'est la loi Ça n'empĂȘche que je l'aurai pas fait parce que ça se fait pas et que je pense qu'elle a le droit du moment qu'elle le retire quand on lui demande dans des situations type contrĂŽle de police ou Ă  l'entrĂ©e d'une banque ou d'un magasin Le 11 novembre 2015 Ă  011121 Ermac94 a Ă©crit En quoi ça te dĂ©range l'auteur qu'une femme musulmane mette son voile ?soumission de la femme dans un pays ou la femme est censĂ© avoir autant de droit que lhomme , libertĂ© egalitĂ© fraternitĂ© , je tinviote a lire la declaration des droits de l homme Le 11 novembre 2015 Ă  011204 baten_kasos a Ă©crit Le 11 novembre 2015 Ă  010906 dons52 a Ă©crit Le 11 novembre 2015 Ă  010752 Toto-du-37_bis a Ă©crit Je me balade pas h24 sur JVC dsl. Mais le FN a ses n'a aucune chance, regarde autour toi, la politique les mĂ©dia, les artiste, c'est eux qui dirigent l'avenir, et il est tout tracĂ©tu es bien naif . on peux avoir 1000 fois une personne , pas 1000 fois la meme personneC'est toi qui est naĂŻf. Le FN n'a aucune chance, tout le monde va voter contre eux si ils arrivent au deuxiĂšme tour. La sensation gĂ©nĂ©ral, jvc ou non, c'est que les gens en ont marre d'ĂȘtre pris pour des Ăąne et les mĂ©dias vĂ©hicule justement des images d'une France dĂ©cadente ou le gouvernement ne trouve pas toujours la bonne solution, le FN en propose et ce sera peut-ĂȘtre adoptĂ© et regrettĂ© comme beaucoup avec le FN n'y changera pas grand chose, c'est mon avis ! Le 11 novembre 2015 Ă  011253 baten_kasos a Ă©crit Le 11 novembre 2015 Ă  011121 Ermac94 a Ă©crit En quoi ça te dĂ©range l'auteur qu'une femme musulmane mette son voile ?soumission de la femme dans un pays ou la femme est censĂ© avoir autant de droit que lhomme , libertĂ© egalitĂ© fraternitĂ© , je tinviote a lire la declaration des droits de l hommeC'est pas une question de soumission, c'est pour Ă©viter le regard des hommes. Certaines femmes n'aiment t'invite Ă  revoir un peu la dĂ©finition de laĂŻcitĂ©. Si elle se baladait en robe Ă  ras la foufoune, tu lui aurait de s'habiller ? Le 11 novembre 2015 Ă  011253 baten_kasos a Ă©crit Le 11 novembre 2015 Ă  011121 Ermac94 a Ă©crit En quoi ça te dĂ©range l'auteur qu'une femme musulmane mette son voile ?soumission de la femme dans un pays ou la femme est censĂ© avoir autant de droit que lhomme , libertĂ© egalitĂ© fraternitĂ© , je tinviote a lire la declaration des droits de l homme"Soumission" supposĂ©e par ton cerveau Ă©triquĂ©. Je t'encourage Ă©galement Ă  lire la DĂ©claration des droits de l'homme pour dĂ©couvrir ce qu'est la libertĂ© de culte. Je t'invite Ă©galement Ă  balayer devant ta porte, c'est pas en France oĂč les salaires sont infĂ©rieurs de 20% Ă  celui des hommes ? L'Afrance Perso je suis pas musulman mais je prĂ©fĂšre 1000 fois voir une femme avec le voile que une femme avec mini jupe ou on voit le cul et tout Le regard des hommes ? Une femme devrait ĂȘtre flattĂ©e qu'un homme pose son regard sur elle Ă  partir du moment oĂč c'est pas dans le dĂ©tail baten pas du tout mais c'est un manque de respect pour elle mafois elle montre ses formes Ă  tous le monde c'est honteux quoi on est pas dans un film porno tu sors dans la rue tu t'habilles pas comme ça c'est tout l'auteur va relire les lois avant de te prendre pour un justicier Le 11 novembre 2015 Ă  011604 theshark_31 a Ă©crit Le regard des hommes ? Une femme devrait ĂȘtre flattĂ©e qu'un homme pose son regard sur elle Ă  partir du moment oĂč c'est pas dans le dĂ©tail Sauf que ce n'est pas le cas de toute les femmes. Il n'y a pas de "devrait", chacun est libre de faire ce qu'il veut. Le voile c'est quoi une bout de tissus qui couvre les cheveux et les formes de la femme ça vous gĂȘne tant que ça ? DĂ©butPage prĂ©cedentePage suivanteFin Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ?

JIMBOURG / REUTERS. F ace Ă  la manifestation croissante des convictions religieuses au travail, une entreprise peut ĂȘtre tentĂ©e d’interdire le port du voile par le biais d’une clause

Elle l’a portĂ© pendant 12 ans. Depuis deux mois, elle ne le porte plus. Je n’ai jamais Ă©tĂ© aussi bien dans ma peau et avec ma conscience ». Des femmes voilĂ©es qui dĂ©cident d’enlever leurs voiles au Maroc, j’en rencontre de plus en plus. Mais c’est la premiĂšre fois qu’on accepte de m’en parler Ă  cƓur ouvert. Ce dialogue reprĂ©sente trois entretiens avec Hanaa, Khaoula et Fatim-Zahra. Les trois femmes sont autonomes financiĂšrement et n’habitent plus chez leurs parents. Hanaa, 25 ans, diplĂŽmĂ©e en science. — Comment ta famille a t-elle rĂ©agi Ă  ta dĂ©cision? — Mon beau-pĂšre, qui m’a Ă©levĂ© comme mon pĂšre, ne me parle plus. Ma mĂšre essaye de me ramener sur le droit chemin » et mon petit frĂšre, lui, me demande ce qu’il va dire Ă  ses amis. Quant Ă  ma petite sƓur, elle a une force de caractĂšre que j’aurais aimĂ© avoir il y a 12 ans. Elle ne l’a jamais portĂ© » — Si je comprends, tu as habituĂ© ta famille Ă  une autre image de toi. À leurs yeux tu n’es plus la sainte qu’ils croyaient? — Exactement. Il faut dire que j’ai grandi dans une petite ville oĂč mes parents habitent toujours. Dans cette ville la hchouma un mot dont le sens varie entre pudeur et honte dĂ©termine les comportements des filles. Mes parents ne savent pas que la sainte qu’ils voyaient en moi a souffert pendant 12 ans. Qu’elle a jouĂ© la comĂ©die, qu’elle a portĂ© le voile surtout pour gagner leur satisfaction, leur bĂ©nĂ©diction, leur fiertĂ©. Ils ignorent que la sainte a dĂ» consulter un psy pour remettre de l’ordre dans sa tĂȘte. Sainte, je ne le suis plus, je ne l’ai jamais Ă©tĂ©. Je ne suis pas pour autant devenue une fille facile. Je n’ai pas reniĂ© ma religion. Je suis toujours une croyante pratiquante. Je sais maintenant que ma spiritualitĂ© et ma foi ne dĂ©pendent pas d’un voile. J’ai appris qu’un vĂ©ritable respect de la femme n’a pas besoin de voile pour se manifester. Si certains hommes ne voient dans la femme qu’un objet sexuel, c’est leur problĂšme. Pas le mien. — En quoi la psychanalyse t’a aidĂ© Ă  mettre de l’ordre dans ta tĂȘte? — En fait, moi, je suis une scientifique. J’ai appris par mes Ă©tudes que la science obĂ©it Ă  la cohĂ©rence. Toute ma souffrance dĂ©coulait d’un manque flagrant de cohĂ©rence. Je portais le voile, mais pas Ă  la plage. Pas dans les mariages. Je portais le voile, mais souvent avec un pantalon de jeans juste assez sexy Ă  mon goĂ»t. Je voilais ma tĂȘte et je dĂ©voilais le reste, en quelque sorte. Parfois, la culpabilitĂ© me rongeait quand ma fĂ©minitĂ©, ma beautĂ©, rĂ©clamait son droit Ă  l’existence, y compris dans le regard discret d’un homme. Dans les derniĂšres annĂ©es, mon voile ne cachait que la moitiĂ© de mes cheveux. Parfois, je l’enlevais carrĂ©ment au milieu de la rue quand il faisait trop chaud ou simplement parce que j’avais envie de me sentir aussi belle que la fille sans voile qui vient de passer Ă  cĂŽtĂ© de moi. Devant mon incohĂ©rence, imagine la rĂ©action de mes collĂšgues, de mes voisins. Ils me trouvaient bizarre et ils avaient raison. Il fallait retrouver la cohĂ©rence Ă  tout prix et la psychanalyse m’a aidĂ©. Par la psychanalyse, j’ai appris que ce n’est pas saint pour l’esprit de faire une chose et son contraire. Mes sĂ©ances chez le psy m’ont aidĂ© Ă  retrouver une intĂ©gritĂ© intellectuelle que j’avais complĂštement perdue. — Quel regard tu portes sur les autres femmes qui portent le voile islamique? — J’ai pris la dĂ©cision d’enlever mon voile. Au nom de la mĂȘme libertĂ©, je ne peux pas et je ne veux pas les juger. Elles sont libres. — Tu ne crois pas que le port du voile est souvent le rĂ©sultat d’une pression sociale et familiale? Tu l’as dit toi-mĂȘme, tu es un exemple. — C’est vrai. En portant le voile, j’ai cru que c’était ma dĂ©cision propre. En l’enlevant, j’ai pris conscience, avec les rĂ©actions de ma famille en particulier, qu’en rĂ©alitĂ© j’étais soumise Ă  une pression sournoise et indirecte. Le jour oĂč j’ai commencĂ© Ă  le porter, je me rappelle bien, mon beau-pĂšre m’a fĂ©licitĂ©. Ma mĂšre Ă©tait joyeuse. Dans la rue, je sentais la bĂ©nĂ©diction des regards. Un jour, j’ai eu marre de faire plaisir Ă  tout le monde sauf Ă  moi. Dans ma longue rĂ©flexion, je suis arrivĂ©e Ă  la conclusion que je n’étais pas la seule Ă  souffrir d’un manque de cohĂ©rence. Je peux faire une liste de toutes les raisons qui poussent les filles Ă  porter le voile sauf celle dictĂ©e par la religion. Ceci dit, la dĂ©cision finale, pour enlever le voile ou le garder, seule la femme concernĂ©e doit la prendre. — Évidemment, mais toi-mĂȘme tu as fait un appel Ă  l’aide. — On ne se libĂšre pas du voile du jour au lendemain. Mon appel Ă  l’aide fait partie d’un processus de dĂ©livrance que j’ai dĂ©clenchĂ© moi-mĂȘme. DerriĂšre mon voile, il y avait d’autres souffrances dont j’ignorais les causes. Il me fallait trouver une oreille attentive pour m’écouter sans porter de jugements. Dans mon cas le psy a jouĂ© ce rĂŽle. Mais je ne dirais jamais que toutes les femmes voilĂ©es devraient consulter. — Si tu avais un souhait pour elles ? — Je souhaite Ă  toutes les femmes, qu’elles soient musulmanes ou pas, qu’elles soient voilĂ©es ou pas, de chercher leur bien-ĂȘtre d’abord en elles-mĂȘmes. Pas dans le regard des autres. Je leur souhaite tout le bonheur du monde. ———— Khaoula, 29 ans, diplĂŽmĂ©e en philosophie. — Qu’il a Ă©tĂ© l’élĂ©ment dĂ©clencheur derriĂšre ta dĂ©cision de ne plus porter le voile? — Je l’ai portĂ© pendant cinq ans. Un jour je me suis vue dans une vitrine juste en face d’un arrĂȘt de bus. Nous Ă©tions plusieurs femmes Ă  attendre, toutes voilĂ©es. Tout d’un coup, dans cette vitrine, mon voile m’est apparu comme un uniforme. À cĂŽtĂ© de ces femmes, j’ai eu l’impression d’ĂȘtre au service d’une mission dont j’ignorais le sens et l’origine. À travers cette vitre, je me suis amusĂ© Ă  imaginer ce bus comme un convoi de femmes jihadistes qui allaient accomplir une mission secrĂšte. J’ai arrĂȘtĂ© de m’amuser quand une part de la rĂ©alitĂ© a rattrapĂ© mon imagination. En montant dans le bus, j’ai dĂ©couvert un chauffeur avec une barbe longue et une tĂȘte rasĂ©e, signes de sa tendance salafiste. J’ai pris ma place dans le bus et aussitĂŽt, sans trop rĂ©flĂ©chir, j’ai retirĂ© le voile devant toutes les autres femmes. Je te laisse imaginer leurs rĂ©actions. — Comment ont-elles rĂ©agi? — Comme on rĂ©agirait Ă  un soldat qui a dĂ©sertĂ©. Soudain je ne faisais plus partie de leur mission. Quand j’ai retirĂ© mon voile, je ne savais pas encore que c’était pour la vie. Une des femmes a osĂ© me lancer droit aux yeux une phrase qui m’a Ă©tĂ© salutaire Tu n’as pas honte? ». J’ai gardĂ© le silence. Au fond de moi, non seulement, je ne sentais aucune honte. Je me suis sentie soudainement lĂ©gĂšre. — Tu sembles trĂšs indĂ©pendante d’esprit. Pourquoi avoir ressenti le besoin de porter un signe religieux? — Mon indĂ©pendance d’esprit n’exclut pas la conscience de ma fragilitĂ©. Je revendique toujours mon besoin de spiritualitĂ©. En portant le voile, j’ai cru donner Ă  ma spiritualitĂ© un signe de force. Je me suis simplement trompĂ©e de moyen. J’ai suivi une vague. J’ai dĂ» ĂȘtre assez vulnĂ©rable, pour ne pas dire aveugle, pour ne pas voir que derriĂšre la vague il y avait un tsunami. — Explique-toi! — En fait, j’ai fait les choses un peu Ă  l’envers. C’est seulement aprĂšs avoir enlevĂ© mon voile que j’ai entamĂ© une rĂ©flexion profonde sur le phĂ©nomĂšne. Une rĂ©flexion qui dĂ©passe ma petite personne. J’ai commencĂ© par me poser une question simple, mais fort importante. — Laquelle? — Pourquoi le voile islamique dans sa forme actuelle n’existait-il pas du tout au Maroc il y a 35 ans? On ne peut pas dire que les Marocaines de l’époque Ă©taient moins bonnes musulmanes que celles d’aujourd’hui. Que s’est-il passĂ© dans le monde pour que le voile devienne une obligation religieuse au Maroc presque du jour au lendemain? Je sais que le Coran fait allusion au voile. Mais pourquoi en ce moment prĂ©cis de l’histoire, le port du voile islamique est devenu pour beaucoup de femmes, dites modernes, aussi important que les cinq obligations de l’islam? Avec toutes ces questions, je suis arrivĂ©e Ă  des hypothĂšses. — Laquelle te paraĂźt la plus importante? — À mon avis, l’apparition du voile correspond Ă  une pĂ©riode de grandes questions identitaires. Dans le monde musulman, ces questions ont Ă©tĂ© rĂ©cupĂ©rĂ©es par deux idĂ©ologies politiques qui se cachent derriĂšre des prĂ©tentions religieuses. Autant du cĂŽtĂ© des salafistes sunnites que du cĂŽtĂ© des chiites en Iran, on s’est servi du Coran Ă  des fins politiques. Les femmes sont devenues la chair Ă  canon de leurs idĂ©ologies. Comme d’habitude, ce sont elles qui payent le prix des conflits entre hommes assoiffĂ©s de pouvoir. — Qu’est-ce que tu veux dire par grandes questions identitaires »? — AprĂšs les indĂ©pendances, les pays musulmans devaient choisir entre plusieurs options pour poursuivre leur libĂ©ration. Ils ont Ă©tĂ© brutalement empĂȘchĂ©s de les atteindre. L’Iran en est un exemple flagrant. Dans ce pays, l’occident a tout fait pour bloquer le mouvement d’émancipation et de dĂ©mocratisation. Aux yeux des Iraniens, l’occident est devenu synonyme de mal et l’AmĂ©rique, celui du diable. Il fallait s’en dĂ©barrasser et puis s’en dĂ©marquer. Les politiques se sont servi de la religion pour justifier leur rejet de l’occident. Le port du voile n’est qu’un marqueur parmi d’autres pour afficher sa diffĂ©rence. LĂ  encore, les femmes ont payĂ© le prix. De plus en plus de femmes en Iran osent braver les interdits en faisant tomber leurs voiles. Je m’identifie Ă  elles. Ne pas porter le voile, c’est aussi un message de solidaritĂ© envers toutes celles qui sont obligĂ©es de le porter. — Je trouve Ă©trange qu’avec une telle conscience politique, tu aies tardĂ© Ă  identifier la dimension politique et identitaire du voile. — Comme je t’ai dit, j’ai vĂ©cu dans une pĂ©riode de ma vie un vide spirituel. En tant que croyante, je le suis toujours, je me suis laissĂ©e porter par une vague. Un jour ou l’autre, je devais dĂ©couvrir le tsunami derriĂšre. — Trouves-tu que les femmes voilĂ©es manquent de conscience politique? — Je ne connais pas toutes les femmes voilĂ©es. Je ne veux pas prĂ©sumer de leurs consciences. D’ailleurs, je crois beaucoup Ă  la libertĂ© de conscience. Je n’ai pas de leçons Ă  leur donner. Cependant, j’ai une conviction. Une femme musulmane qui dĂ©couvre la dimension politique de son voile ne pourra plus le voir de la mĂȘme façon. Qu’elle le garde ou l’enlĂšve, elle ne verra plus les autres femmes voilĂ©es de la mĂȘme façon. — Comme tu sais, au-delĂ  de son aspect religieux ou politique, pour beaucoup d’hommes musulmans, le voile est devenu une norme de droiture. Au moment de se marier, des hommes se disent Je ne prendrai pas de chance, ma femme sera voilĂ©e ». En tant que femme marocaine, comment tu fais face Ă  cette mentalitĂ©? — Le voile est devenu un symbole d’hypocrisie. Certains hommes s’en foutent que leurs femmes le portent par conviction ou pas, du moment que cela leur donne une image de respectabilitĂ©. Je ne te parle pas des femmes qui le portent uniquement pour cacher leur mĂ©tier de prostituĂ©es. Je ne les condamne pas. Je condamne le contexte sociopolitique qui les oblige Ă  cette hypocrisie. Le voile islamique au Maroc est devenu une piĂšce Ă  conviction, l’objet dĂ©posĂ© au greffe du tribunal de l’opinion. Depuis que je marche sans voile, j’ai pris conscience Ă  quel point une femme libre, au Maroc, fait peur aux hommes. À quel point elle les dĂ©stabilise. Heureusement pas tous, sinon j’aurais quittĂ© le pays. —— Fatim-Zahra, 31 ans, diplĂŽmĂ©e en comptabilitĂ©. — Tu as portĂ© le voile pendant 15 ans. Depuis 5 ans, Ă  temps partiel. Ça fait seulement quelques semaines que le voile ne fait plus partie de ta vie. Comment tu te sens? — Je ne sais pas comment les autres femmes qui enlĂšvent leurs voiles se sentent. Moi, je me sens comme une reine et j’en profite pour dire merci Ă  la princesse Lalla Salma, la femme de notre roi. Elle m’a apportĂ© un secours inestimable. — Raconte! — Ça fait 15 ans que je le porte, mais depuis au moins cinq ans, je ne le porte plus vraiment. À mon petit village, je le porte. En ville oĂč je travaille et oĂč j’habite depuis 5 ans, je ne le porte pas. Il Ă©tait impossible de m’imaginer rentrer la fin de semaine au village sans le voile. J’apprĂ©hendais trop la rĂ©action de ma famille. Comment allait-elle supporter les mauvaises rumeurs? — Quand la princesse Selma est-elle arrivĂ©e dans l’histoire? — Un soir, je regardais la tĂ©lĂ© avec mes parents. Aux nouvelles, on parlait d’une visite de Lalla Selma au Qatar. Elle a Ă©tĂ© reçue par Chaikha Mouzah la mĂšre du roi du Qatar. Tout le monde a bien remarquĂ© le petit dĂ©tail qui distingue les deux princesses. La nĂŽtre ne porte pas le voile. La leur le porte. Mes parents ne cachaient pas leur fiertĂ©. Lalla Selma faisait briller l’étoile du Maroc. Et c’est ma mĂšre qui a lancĂ© la phrase magique Quelle beautĂ©, quelle Ă©lĂ©gance et quel courage! ». À partir de cet instant, j’ai dĂ©cidĂ© que moi aussi j’allais ĂȘtre courageuse. Princesse, je l’ai toujours Ă©tĂ© aux yeux de mon pĂšre. La semaine d’aprĂšs, je suis rentrĂ©e au village sans voile. J’avais en main le portrait de Lalla Selma que j’ai accrochĂ© au milieu du salon. —– À Rabat, trois femmes musulmanes ont dĂ©cidĂ© d’enlever leurs voiles Hanaa, Khaoula et Fatim-Zahra. Pendant ce temps, Ă  MontrĂ©al, le Centre Communautaire Musulman de MontrĂ©al de tendance chiite, continue Ă  organiser annuellement la cĂ©rĂ©monie du voile pour des fillettes ĂągĂ©es de 9 Ă  10 ans. La derniĂšre cĂ©rĂ©monie a eu lieu le 16 avril dernier. J’ai envoyĂ© Ă  Khaoula le lien vidĂ©o de la cĂ©rĂ©monie. Sa rĂ©action J’ai envie de pleurer. J’apprĂ©hende dĂ©jĂ  le doute et la culpabilitĂ© que ces fillettes vivront quand elles seront vraiment adultes. Quand elles prendront conscience de leur identitĂ© de femmes. Elles souffriront sous le poids des jugements qu’on portera sur elles et les jugements qu’elles porteront elles-mĂȘmes sur celles qui ne portent pas le hijab. À qui profite cette division qu’on sĂšme entre femmes? Cette cĂ©rĂ©monie n’est inscrite dans aucune tradition, dans aucune obligation religieuse. Les responsables de cette cĂ©rĂ©monie ne peuvent plaider la libertĂ© de conscience. Le gouvernement canadien, par contre, peut plaider l’assistance Ă  des enfants en danger ».
Levoile (du latin velum, rideau, tenture) est un vĂȘtement traditionnel ou religieux destinĂ© gĂ©nĂ©ralement Ă  masquer tout ou partie du corps et parfois du visage d'une femme.. PrĂ©sent notamment dans les traditions chrĂ©tiennes et musulmanes et souvent associĂ© aux femmes, il prend de multiples formes et est souvent fabriquĂ© dans un tissu lĂ©ger d'une certaine Je me promenais dans un parc, les cheveux dĂ©couverts pour la premiĂšre fois depuis prĂšs de 20 ans. Mes oreilles Ă©taient toutes rouges. Je m'Ă©tais prĂ©parĂ©e mentalement avant de quitter la maison, anticipant la sensation du vent qui allait souffler dans mes cheveux, les mĂšches caressant mes joues. Mais ce qui m'a le plus marquĂ© ce jour-lĂ , c'est cette sensation inhabituelle de picotement que j'ai ressenti sur mes oreilles, surprises par l'air frais de y a beaucoup de choses que j’aurais dĂ» prĂ©voir lorsque j’ai pris la dĂ©cision d’enlever mon voile il y a deux ans comme le froid sur mes oreilles rouges ce matin-lĂ , et pourtant, j’ai Ă©tĂ© prise au commencĂ© Ă  porter le hijab Ă  l'Ăąge de 10 ans et je l'ai retirĂ© Ă  28. J'ai flirtĂ© avec l'idĂ©e de longs mois avant de me dĂ©cider. Et quand je l'ai fait, ce n'Ă©tait pas exactement une occasion heureuse pour moi. J'avais l'impression d'ĂȘtre dans une impasse dans ma vie spirituelle et je devais accepter la dure rĂ©alitĂ©, Ă  savoir que mon hijab n'avait plus la mĂȘme importance pour moi. Je n'Ă©tais pas moins musulmane, mais je ne comptais simplement plus sur ce voile pour m'aider Ă  me sentir proche de pendant 18 ans, j'ai passĂ© chaque matin devant le miroir, Ă©pinglant mon hijab avant de quitter la maison. Certains jours, le tissu se laissait faire, et cela ne me prenait que deux ou trois minutes. D'autres jours, il refusait de coopĂ©rer et pendait maladroitement ou glissait sur ma tĂȘte. Je soufflais alors de frustration en serrant la mĂąchoire si fort que je m'en donnais des j'ai dĂ©cidĂ© d'arrĂȘter de porter le hijab, je ne savais pas combien ce rituel quotidien sacrĂ©, parfois exaspĂ©rant, allait me manquer. Ce geste simple Ă©tait une forme de culte, une priĂšre silencieuse, un engagement intime envers moi-mĂȘme, comme une seconde peau. Pendant les premiers mois, je me sentais nue en quittant la maison. Aujourd'hui encore, deux ans plus tard, il m'arrive d'oublier et de paniquer quand je suis dehors avant de rĂ©aliser que je ne le porte plus, ce voile qui continue de me hanter.“Ce que je n'avais pas anticipĂ©, ce sont les Ă©loges, les tapes dans le dos et les nombreuses fĂ©licitations pour mon "courage", ni la façon dont ces rĂ©actions allaient me dĂ©concerter.”Mais la perte de cette routine n'est pas la seule chose Ă  laquelle j'ai dĂ» m'habituer. Mes interactions ont aussi beaucoup changĂ©. Il y a des choses auxquelles je m'attendais et d'autres non. Je me souviens de la premiĂšre fois oĂč quelqu'un m'a fĂ©licitĂ©e, m'a dit que j'Ă©tais "courageuse" d'avoir retirĂ© mon voile. Et puis la deuxiĂšme fois, et la troisiĂšme. Je m'Ă©tais prĂ©parĂ©e Ă  rĂ©pondre Ă  des questions sur ma santĂ© spirituelle et religieuse. J'Ă©tais mĂȘme prĂ©parĂ© au jugement, au claquement de langues de dĂ©sapprobation des gens de ma communautĂ© qui allaient supposer que si je faisais ça, c'Ă©tait juste pour pĂ©cher en paix. Ce que je n'avais pas anticipĂ©, en revanche, ce sont les Ă©loges, les tapes dans le dos et les fĂ©licitations pour ce fameux courage, ni Ă  quel point ces rĂ©actions allaient me blesser. J'aurais peut-ĂȘtre dĂ» y mois aprĂšs avoir enlevĂ© mon hijab, je suis allĂ©e prendre un cafĂ© avec mon ancienne cheffe - une femme qui m'avait donnĂ© ma chance dans l'industrie des mĂ©dias - et une autre collĂšgue. Quand elles m'ont vue, mes boucles remplaçant le hijab de couleur neutre qu'elles avaient l'habitude de voir, elles ont toutes les deux criĂ© et agrippĂ© mes Ă©paules."Oh mon Dieu, tu es trop belle ! Pourquoi tu nous cachais ça ?!"J'ai ri - par surprise - ne sachant pas trop comment rĂ©pondre Ă  ce commentaire. Est-ce que j'Ă©tais moche avant ? Cette pensĂ©e m'a fait rire encore plus fort."C'est gĂ©nial, je suis tellement fiĂšre de toi", m'a dit mon ancienne patronne, en me serrant dans ses bras. Je l'ai regardĂ© avec perplexitĂ© et mon visage s'est mis Ă  chauffer. FiĂšre de moi ? Pourquoi ? Les deux femmes ont passĂ© leurs doigts dans mes cheveux alors que je me tenais lĂ , Ă  mi-chemin entre la colĂšre et la gĂȘne. Leur admiration en disait long sur la femme qu'elles pensaient que j'Ă©tais lorsque je portais le avec le temps cette expĂ©rience s'est renouvelĂ©e. Encore et encore. Pour ces personnes, j'Ă©tais une toute nouvelle femme - plus courageuse, plus audacieuse et plus libre. Mais en rĂ©alitĂ©, je suis toujours la mĂȘme personne, simplement sans hijab. Je n'avais pas peur avant, et je ne suis pas plus libre maintenant. Je ne suis pas du genre Ă  rougir devant les Ă©loges, quand c'est mĂ©ritĂ©. Ce n'est tout simplement pas le cas prĂšs de vingt ans, mon hijab a Ă©tĂ© une partie intĂ©grante de mon identitĂ©. Le porter m'a appris une leçon importante sur la façon de me comporter dans le monde - plus prĂ©cisĂ©ment, il m'a appris la signification du mot "courage". J'ai dĂ» marcher en gardant la tĂȘte haute et l'esprit toujours en alerte. J'ai appris Ă  la dure Ă  choisir les micro-agressions auxquelles je voulais rĂ©pondre aprĂšs m'ĂȘtre Ă©puisĂ©e Ă  vouloir toutes les confronter. J'ai Ă©galement dĂ» faire face Ă  un monde de plus en plus islamophobe, en Ă©tant une femme visiblement musulmane, ce qui demande beaucoup plus de courage que de sortir les boucles au vent.“Pendant prĂšs de vingt ans, mon hijab a Ă©tĂ© une partie intĂ©grante de mon identitĂ©. Le porter m'a appris une leçon importante sur la façon de me comporter dans le monde - plus prĂ©cisĂ©ment, il m'a appris la signification du mot "courage".”J'ai Ă©galement dĂ» faire face Ă  ma propre culpabilitĂ©, au sentiment d'avoir abandonnĂ© ma communautĂ© en enlevant mon hijab. Lorsqu'en 2019, un homme armĂ© de 28 ans avait pĂ©nĂ©trĂ© dans deux mosquĂ©es de Christchurch, en Nouvelle-ZĂ©lande, tuant 51 personnes et en blessant 40 autres, ma culpabilitĂ© a enflĂ© au point de me rendre malade. À l'Ă©poque, mon chagrin m'a presque poussĂ©e Ă  remettre le voile, un moyen dĂ©sespĂ©rĂ© de m'absoudre de la honte irrationnelle que je m'a souvent demandĂ© si j'Ă©tais forcĂ©e de porter le hijab. J'ai appris Ă  encaisser la question, Ă  faire de mon mieux pour ne pas rouler des yeux, et Ă  rĂ©pondre poliment une rĂ©ponse rĂ©pĂ©tĂ©e plus de fois que je ne peux compter "Non, bien sĂ»r que non. C'est mon choix". La personne souriait en retour, cordialement, mais je dĂ©celais parfois dans leur expression un soupçon d'incrĂ©dulitĂ©. Peu importe ce que je leur disais de mon expĂ©rience, certains stĂ©rĂ©otypes sont trop profondĂ©ment encrĂ©s pour qu'on me croit sur parole. Parfois, ils m'affichaient ce sourire familier, les lĂšvres serrĂ©es, en me regardant, le cou rentrĂ©, la tĂȘte lĂ©gĂšrement penchĂ©e d'un cĂŽtĂ© en signe de depuis que j'ai arrĂȘtĂ© de porter le voile, je suis confrontĂ©e Ă  un tout autre type de sourire, un sourire d'admiration. Et je ne sais pas lequel est le pire.
LouangeĂ  Allah. Paix et salut sur Son ProphĂšte. ChĂšre sƓur, Il n'y a pas d'inconvĂ©nient Ă  ce qu'une femme ne porte pas son voile devant un homme aveugle Ă  condition qu'elle soit Ă  l'abri des regards d'un autre homme Non-Mahram.La preuve en est ce Hadith que vous avez mentionnĂ© dans votre question, ce Hadith a Ă©tĂ© rapportĂ© par Muslim dans son Sahih
đŸŒŸRetirer son voile par contrainteđŸŒŸ Question Il arrive que dans certains pays, les femmes musulmanes puissent ĂȘtre forcĂ©es Ă  enlever leur voile et de laisser leurs tĂȘtes dĂ©couvertes. Est-ce qu'il leur est permis de faire cela, tout en sachant que quiconque refuse de faire cela, devra faire face Ă  des consĂ©quences telles que perdre son travail ou ĂȘtre expulsĂ© d'Ă©cole ?RĂ©ponse Ce qui se passe dans ces quelques pays est une des choses par lesquelles la personne peut-ĂȘtre - Ta'Ăąla - dit traduction rapprochĂ©e Alif, LĂąm, MĂźm. Est-ce que les gens pensent qu'on les laissera dire Nous croyons ! » sans les Ă©prouver ? Certes, Nous avons Ă©prouvĂ© ceux qui ont vĂ©cu avant eux ; Ainsi AllĂąh connaĂźt ceux qui disent la vĂ©ritĂ© et ceux qui mentent. » [1]Ce que je pense est que ces femmes musulmanes dans ces pays, devraient refuser d'obĂ©ir aux gens responsables [souverains] dans ce qui est mauvais, parce qu'obĂ©ir Ă  ceux qui dĂ©tiennent l'autoritĂ© dans ce qui est mal n'est pas - Ta'Ăąla - dit traduction rapprochĂ©e O vous les croyants ! ObĂ©issez Ă  AllĂąh, et obĂ©issez au Messager et Ă  ceux d'entre vous qui dĂ©tiennent le commandement » [2]Si vous rĂ©flĂ©chissez au sens de la signification de ce verset, vous noterez qu'AllĂąh dit traduction rapprochĂ©e ObĂ©issez Ă  AllĂąh, et obĂ©issez au Messager et Ă  ceux d'entre vous qui dĂ©tiennent le commandement » et le verbe obĂ©issez » n'est pas rĂ©pĂ©tĂ© dans le troisiĂšme cas quant Ă  ceux qui dĂ©tiennent le commandement. Cela indique que l'obĂ©issance Ă  ceux qui dĂ©tiennent le commandement est secondaire Ă  l'obĂ©issance Ă  AllĂąh et Ă  l'obĂ©issance Ă  Son Messager. Si leur ordre est contraire Ă  l'obĂ©issance Ă  AllĂąh et Son Messager, alors ils ne devraient pas ĂȘtre Ă©coutĂ©s et il ne doit pas y avoir d'obĂ©issance dans ce qui contredit l'obĂ©issance Ă  AllĂąh et Ă  Son Messager. Il n'y a pas d'obĂ©issance Ă  une crĂ©ature dans la dĂ©sobĂ©issance au CrĂ©ateur. »Le malheur que la femme peut rencontrer dans ce type de situation, est quelque chose qu'elle se doit de vivre avec patience, et elle devrait chercher le secours auprĂšs d'AllĂąh - Ta'Ăąla - dans la patience. Nous demandons Ă  AllĂąh qu'Il guide leurs gouvernants dans la ne pense pas qu'on puisse forcer une femme Ă  ne pas porter le voile, Ă  moins que celle-ci quitte sa maison, mais si elle reste Ă  la maison, personne ne pourra la forcer [Ă  retirer son voile], donc qu'elle fasse son possible pour rester chez elle jusqu'Ă  ce qu'elle soit en paix face Ă  cet ordre. Quant au Ă©tudes qui la mĂšneront Ă  commettre ce pĂ©chĂ©, cela n'est pas permis, elle devrait plutĂŽt Ă©tudier ce dont elle a le plus besoin pour ce qui est de ses intĂ©rĂȘts religieux et de sa vie ici- bas. Cela est suffisant et peut ĂȘtre gĂ©nĂ©ralement fait Ă  la maison. [3][1] Coran, 29/1-3[2] Coran, 4/59[3] KitĂąb Madjmu'atu Ass'ilat al-'Usrah al-Mouslima » - SHeikh Ibn 'UthaymĂźn, de Mouhammad Ibn Salih Al-'Outheymine - Ű§Ù„ŰŽÙŠŰź Ù…Ű­Ù…ŰŻ ŰšÙ† Ű”Ű§Ù„Ű­ Ű§Ù„ŰčŰ«ÙŠÙ…ÙŠÙ†
Lélu Rassemblement National a exigé qu'elle retire son voile, allant ainsi à l'encontre du droit. Vendredi 11 octobre, une classe de CM2 de Belfort s'est rendue au Conseil régional de
À la suite d'une altercation entre une lycĂ©enne et une CPE d'un lycĂ©e Ă  Paris, le nom de la conseillĂšre a Ă©tĂ© divulguĂ© sur les rĂ©seaux sociaux, et elle a par la suite reçu des insultes et des menaces de menaces de mort, une plainte, des accusations d'islamophobie... Une enquĂȘte a Ă©tĂ© ouverte vendredi par le pĂŽle national de lutte contre la haine en ligne du parquet de Paris aprĂšs la plainte d'une ConseillĂšre principale d'Ă©ducation CPE du lycĂ©e Charlemagne Paris, victime de menaces de mort et de harcĂšlement en commence jeudi dernier, quand une Ă©lĂšve voilĂ©e se prĂ©sente au lycĂ©e Charlemagne, pour passer une Ă©preuve du baccalaurĂ©at. La candidate n'appartient pas Ă  ce lycĂ©e et s'y rend seulement pour l'examen. À l'entrĂ©e de l'Ă©tablissement, une CPE demande Ă  la jeune fille de retirer son voile, conformĂ©ment Ă  la loi. C'est lĂ  que les choses s'enveniment, et que deux version coexistent, pour le moment. La version de la lycĂ©enneLa jeune fille explique de son cĂŽtĂ© que dĂšs qu'elle arrive devant la porte du lycĂ©e, la CPE lui demande de retirer "son truc sur la tĂȘte". La candidate dit s'ĂȘtre exĂ©cutĂ©e sur le moment mĂȘme, selon une interview qu'elle a donnĂ©e Ă  RĂ©volution Permanente. Mais d'aprĂšs elle, cela ne suffit pas Ă  la CPE qui ne veut pas la laisser rentrer, et l'accuse de provocation et de venir faire de la propagande sur le lycĂ©enne explique avoir Ă©tĂ© traitĂ©e comme "un monstre", une "malpropre", un "animal", et que la CPE s'est adressĂ©e Ă  elle de façon trĂšs vidĂ©o filmĂ©e Ă  ce moment, publiĂ©e sur les rĂ©seaux sociaux, montre en effet la conseillĂšre de l'Ă©tablissement crier "Tu la mets en veilleuse, on te demande de l'enlever tu l'enlĂšves, point". Toutefois, elle ne prĂ©sente pas le dĂ©but de l'Ă©change et la cause directe de l' lycĂ©enne assure de son cĂŽtĂ© avoir reçu plusieurs tĂ©moignages au sein du lycĂ©e qui font Ă©tat de rĂ©flexions racistes, islamophobes de la part de la CPE. RĂ©volution Permanente a d'autre part recueilli des tĂ©moignages de personnels du lycĂ©e choquĂ©s par la violence de la CPE Ă  l'Ă©gard de la jeune fille, l'une parlant de prĂ©cĂ©dents actes islamophobes dans l' candidate au bac pointe Ă©galement du doigt dans cette situation le gouvernement qui "a menĂ© des attaques Ă  l’encontre des femmes musulmanes notamment contre le port du voile" ce qui a "freinĂ©" leur libertĂ©. La version de la CPEDe son cĂŽtĂ©, la conseillĂšre de l'Ă©tablissement assure que la jeune fille a refusĂ© de retirer son voile quand cela lui a Ă©tĂ© demandĂ©. Selon certains tĂ©moins, la lycĂ©nne Ă©tait dĂ©terminĂ©e Ă  ne pas obĂ©ir, dĂ©clarant en mĂȘme temps "Je vais passer". La CPE aurait alors continuĂ© de lui rappeller qu'elle doit enlever son voile, ce qu'elle ne fait se dĂ©roule peu avant l'Ă©preuve du baccalaurĂ©at, prĂ©vue Ă  14h. Alors qu'elle ne va pas tarder Ă  commencer, le passage pour se rendre dans la salle d'examen est bloquĂ© par la contestation, selon les memes sources. Afin d'Ă©viter tout retard de dĂ©but d'Ă©preuve et dĂ©bloquer l'accĂšs, on demande Ă  la jeune fille de se mettre de cĂŽtĂ©, et le ton CPE perd alors ses nerfs et monte dans les tours devant les refus de la jeune fille. La vidĂ©o relayĂ©e par RĂ©volution Permanente commencerait donc Ă  ce les sources rĂ©unies par BFMTV sont d'accord sur le fait que la jeune fille Ă©tait dans la provocation, mais aussi que la CPE a perdu ses nerfs. En somme, les torts seraient partagĂ©s. Une plainte pour menaces de mortSi une plainte a Ă©tĂ© dĂ©posĂ©e, c'est que l'histoire a Ă©tĂ© relayĂ©e sur le rĂ©seau social Twitter - dans des messages aujourd'hui supprimĂ©s - via l'une des amies de la lycĂ©enne, qui a expliquĂ© Ă  BFMTV ne pas avoir assistĂ© Ă  la scĂšne. Dans ce thread, la CPE est traitĂ©e d'islamophobe, ce qui entraine une premiĂšre salve d'insultes et de menaces de mort Ă  son encontre. Puis l'identitĂ© de la conseillĂšre est dĂ©voilĂ©e sur le rĂ©seau, oĂč elle est insultĂ©e, traitĂ©e d'islamophobe, alors que les menaces depuis l'assassinat en octobre 2020 de Samuel Paty, professeur d'histoire-gĂ©ographie, la mise en danger de la vie d'autrui par la diffusion d'informations sur la vie privĂ©e, familiale et professionnelle est devenue un CPE a portĂ© plainte, et une enquĂȘte pour menaces de mort, harcĂšlement moral en ligne et mise en danger de la vie d'autrui par diffusion d'informations relatives Ă  la vie privĂ©e, familiale ou professionnelle a Ă©tĂ© confiĂ©e Ă  l'Office central de lutte contre les crimes contre l'humanitĂ© et les crimes de haine OCLCH, selon le parquet de Paris Ă  l' une jeune femme a Ă©tĂ© interpellĂ©e et placĂ©e en garde Ă  vue du cĂŽtĂ© d'Amiens, elle est soupçonnĂ©e d'avoir mis en ligne le nom de la CPE. Lors de sa garde Ă  vue, qui a Ă©tĂ© levĂ©e depuis, elle a expliquĂ© qu'elle voulait que la situation de la lycĂ©enne soit portĂ©e Ă  la connaissance de la police, mais qu'elle a vite retirĂ© le tweet qui identifiait la CPE, ce qui est vrai. Aucune dĂ©cision Ă  son encontre n'a Ă©tĂ© prise, mais Ă  ce stade elle n'est pas hors enquĂȘteurs vont maintenant s'attacher Ă  traiter les tweets les plus virulents Ă  l'encontre de la CPE, et Ă  procĂ©der quand c'est possible Ă  d'autres interpellations. Ils ont d'ores et dĂ©jĂ  entendu la CPE et l'Ă©lĂšve, selon l'AFP. Cette derniĂšre n'est pas mise en cause.
Bienqu’il n’y ait pas de conditions fermement Ă©tablies comme pour le voile, les savants s’accordent Ă  dire qu’il est autorisĂ© de dĂ©couvrir entre femmes et devant ses maharims ce qui
Depuis quelques jours, le dĂ©bat sur le port du voile islamique enfle en France. À l’origine de cette nouvelle polĂ©mique, le geste d’un Ă©lu du Rassemblement national ex-Front National, qui a humiliĂ© une mĂšre accompagnatrice d’école portant le voile, entraĂźnant de nombreuses rĂ©actions de condamnations mais aussi des critiques sur la place du voile en France. Vendredi, en pleine assemblĂ©e plĂ©niĂšre du conseil rĂ©gional de Bourgogne-Franche-ComtĂ© est du pays, Julien Odoul, prĂ©sident du groupe Rassemblement National, avait sommĂ© la prĂ©sidente socialiste, Marie-Guite Dufay, de demander Ă  une des accompagnatrices scolaires prĂ©sente dans l’hĂ©micycle de retirer son voile. La mĂšre de famille accompagnait la classe d’école primaire de son fils. Nous sommes dans un bĂątiment public, nous sommes dans une enceinte dĂ©mocratique. C’est une provocation insupportable », s’était exclamĂ© le responsable d’extrĂȘme-droite, qui a publiĂ© une vidĂ©o de son intervention sur le rĂ©seau social Twitter. AprĂšs l’assassinat de nos quatre policiers, nous ne pouvons pas tolĂ©rer cette provocation communautariste », a-t-il dĂ©noncĂ© en outre. Madame a tout le loisir et la libertĂ© de garder son voile en dehors, dans la rue en dehors, et pas ici, c’est la loi de la RĂ©publique », a-t-il ajoutĂ©. 🔮 [RT]Au nom de nos principes rĂ©publicains et laĂŻcs, j’ai demandĂ© Ă  MarieGuiteDufay de faire enlever le voile islamique d’une accompagnatrice scolaire prĂ©sente dans l’hĂ©micycle. AprĂšs l’assassinat de nos 4 policiers, nous ne pouvons pas tolĂ©rer cette provocation communautariste — Julien Odoul JulienOdoul October 11, 2019 La prĂ©sidente PS du conseil rĂ©gional, Marie-Guite Dufay, a rĂ©pondu que ni le rĂšglement du conseil rĂ©gional ni la loi n’interdisaient le port du voile au sein de l’hĂ©micycle, dĂ©nonçant plus tard dans un communiquĂ© le dĂ©ferlement de la haine » et condamnĂ© des comportements indignes d’élus de la RĂ©publique ». Mme Dufay a Ă©galement indiquĂ© ce dimanche son intention de saisir le Procureur de la RĂ©publique au sujet de Julien Odoul. La polĂ©mique dĂ©clenchĂ©e par Julien Odoul a eu un retentissement national. Plusieurs personnes ont effet critiquĂ© son geste, mĂȘme au sein de son propre parti politique. Je pense que ces propos Ă©taient malvenus », a affirmĂ© Nicolas Bay, dĂ©putĂ© europĂ©en RN, qui reconnait que dans l’état actuel du droit il n’est pas interdit pour une femme de porter le voile et donc je pense que c’est une maladresse d’un jeune Ă©lu rĂ©gional ». Il faut combattre le communautarisme et les revendications politico-religieuses, mais en revanche nous devons assortir cette fermetĂ© du respect de la dignitĂ© de chacun », a estimĂ© Nicolas Bay. Je parle un peu comme un pĂšre de famille mettre en cause une femme Ă  cĂŽtĂ© de son enfant en bas Ăąge, c’est une maladresse et c’est malvenu. C’était inutilement blessant et agressif », a-t-il insistĂ©. L’intervention du jeune Ă©lu rĂ©gional d’extrĂȘme droite a eu droit Ă  des rĂ©actions mitigĂ©es du cĂŽtĂ© du gouvernement. C’est en humiliant les mĂšres publiquement devant leurs enfants qu’on crĂ©e du communautarisme », a dĂ©clarĂ© MarlĂšne Schiappa, secrĂ©taire d’État chargĂ©e de l’ÉgalitĂ© entre les femmes et les hommes. S’il a condamnĂ© l’intervention de Julien Odoul, le ministre de l’Education français a nĂ©anmoins estimĂ© que le voile n’est pas non plus Ă  encourager ». Le voile en soi n’est pas souhaitable dans notre sociĂ©tĂ© tout simplement. Ce n’est pas quelque chose d’interdit, mais ce n’est pas non plus Ă  encourager. Ce que ça dit sur la condition fĂ©minine n’est pas conforme Ă  nos valeurs », a dĂ©clarĂ© le ministre Jean-Michel Blanquer dans un entretien Ă  BFM TV. Sorties scolaires Blanquer prĂ©fĂšre qu'une mĂšre accompagnatrice ne porte pas le voile car il n'est pas souhaitable dans notre sociĂ©tĂ© » — BFMTV BFMTV October 13, 2019 Les propos du ministre de l’Éducation ont trouvĂ© un Ă©cho positif du cĂŽtĂ© du parti les RĂ©publicains ex-UMP, droite Ă  extrĂȘme-droite. Jean-Michel Blanquer a raison, le voile islamique n’est pas souhaitable en France. Je salue le courage de cette prise de position », a affirmĂ© Eric Ciotti, dĂ©putĂ© Les RĂ©publicains. Puisse-t-il ĂȘtre entendu par le PrĂ©sident Macron pour l’instant prisonnier de l’aile gauche de sa majoritĂ© », a-t-il ajoutĂ©. Le ministre de l’Éducation s’est par ailleurs attirĂ© le ridicule des internautes lorsqu’il a affirmĂ© que l’un des signes prĂ©coces de radicalisation visibles Ă  l’école. On voit parfois des petits garçons refusant de tenir la main Ă  une petite fille. Ce n’est Ă©videmment pas acceptable dans l’école de la RĂ©publique. La solution est simple et rapide, mais si cela dĂ©bouche sur un problĂšme plus grave, on le signale », a dĂ©clarĂ© M. Blanquer, s’attirant les moqueries et l’indignation des internautes. Blanquer On voit parfois des petits garçons refusant de tenir la main Ă  une petite fille, si ça dĂ©bouche sur un problĂšme plus grave, on le signale » — BFMTV BFMTV October 13, 2019 Le nouveau prĂ©sident du parti Les RĂ©publicains, Christian Jacob, a quant Ă  lui rĂ©clamĂ© ce lundi l’interdiction du port du voile lors des sorties scolaires. Ça me choque qu’on accepte qu’une personne voilĂ©e puisse accompagner des enfants en dĂ©placements scolaires parce que, comment expliquer que c’est interdit dans l’enceinte de l’établissement, mais que si on est au contact des enfants en dehors, et toujours dans le cadre scolaire, on l’autorise ? », a expliquĂ© M. Jacob dans un entretien Ă  France Inter, citĂ© par TV5 Monde.
Fairele Tayammum quand on ne peut pas enlever le voile Salam Alaykoum Une femme voil e peut-elle utiliser le tayammum pour prier lorsqu elle est dehors exemple la plage ou en voyage et qu elle ne peut pas se d voiler et que lorsqu elle rentrera l heure de la pri re sera pass e De plus si elle a une envie pressante d aller aux toilettes mais que si elle attend de trouver des toilettes

A midi, au bureau numĂ©ro 7 de l’école des Sables d’Orange, l’élu Ă  la police et Ă  la sĂ©curitĂ© GĂ©rald TestaniĂšre, a demandĂ© Ă  NaĂŻma El Omar d’enlever son foulard avant de voter. [
] L’élu, lui, se justifie avec une photo sur la carte d’identitĂ© qui ne correspondait pas Ă  la personne qui s’est prĂ©sentĂ©e devant lui. La Provence

Française fille de mĂ©decin, j’ai dĂ©cidĂ© Ă  20 ans de devenir musulmane. Mon immense besoin d’absolu m’a cependant
As -Salam wa alaykoum, Comme beaucoup de soeurs se posent souvent la questions si il est permis de retirer le voile quand on y est forcĂ©e Ă©cole, travail, etc., je vous partage aujourd'hui une rĂ©ponse du Cheikh Muhammad Ibn Salih Al-Uthaymin Ă  ce propos QUESTION Il arrive que dans certains pays, les femmes musulmanes puissent ĂȘtre forcĂ©es Ă  enlever leur voile et de laisser leurs tĂȘtes qu'il leur est permis de faire cela, tout en sachant que quiconque refuse de faire cela, devra faire face Ă  des consĂ©quences telles que perdre son travail ou ĂȘtre expulsĂ© d'Ă©cole ? REPONSE du Sheikh Muhammad Ibn SĂąlih al-'UthaymĂźnCe qui se passe dans ces quelques pays est une des choses par lesquelles la personne peut-ĂȘtre - Ta'Ăąla - dit Alif, LĂąm, MĂźm. Est-ce que les gens pensent qu'on les laissera dire Nous croyons ! » sans les Ă©prouver ? Certes, Nous avons Ă©prouvĂ© ceux qui ont vĂ©cu avant eux ; Ainsi AllĂąh connaĂźt ceux qui disent la vĂ©ritĂ© et ceux qui mentent. » [1]Ce que je pense est que ces femmes musulmanes dans ces pays, devraient refuser d'obĂ©ir aux gens responsables [souverains] dans ce qui est mauvais, parce qu'obĂ©ir Ă  ceux qui dĂ©tiennent l'autoritĂ© dans ce qui est mal n'est pas permis. AllĂąh - Ta'Ăąla - dit O vous les croyants ! ObĂ©issez Ă  AllĂąh, et obĂ©issez au Messager et Ă  ceux d'entre vous qui dĂ©tiennent le commandement » [2]Si vous rĂ©flĂ©chissez au sens de la signification de ce verset, vous noterez qu'AllĂąh dit ObĂ©issez Ă  AllĂąh, et obĂ©issez au Messager et Ă  ceux d'entre vous qui dĂ©tiennent le commandement » et le verbe obĂ©issez » n'est pas rĂ©pĂ©tĂ© dans le troisiĂšme cas quant Ă  ceux qui dĂ©tiennent le indique que l'obĂ©issance Ă  ceux qui dĂ©tiennent le commandement est secondaire Ă  l'obĂ©issance Ă  AllĂąh et Ă  l'obĂ©issance Ă  Son leur ordre est contraire Ă  l'obĂ©issance Ă  AllĂąh et Son Messager, alors ils ne devraient pas ĂȘtre Ă©coutĂ©s et il ne doit pas y avoir d'obĂ©issance dans ce qui contredit l'obĂ©issance Ă  AllĂąh et Ă  Son Messager. Il n'y a pas d'obĂ©issance Ă  une crĂ©ature dans la dĂ©sobĂ©issance au CrĂ©ateur. »Le malheur que la femme peut rencontrer dans ce type de situation, est quelque chose qu'elle se doit de vivre avec patience, et elle devrait chercher le secours auprĂšs d'AllĂąh - Ta'Ăąla - dans la demandons Ă  AllĂąh qu'Il guide leurs gouvernants dans la vĂ©ritĂ©. Je ne pense pas qu'on puisse forcer une femme Ă  ne pas porter le voile, Ă  moins que celle-ci quitte sa maison, mais si elle reste Ă  la maison, personne ne pourra la forcer [Ă  retirer son voile], donc qu'elle fasse son possible pour rester chez elle jusqu'Ă  ce qu'elle soit en paix face Ă  cet au Ă©tudes qui la mĂšneront Ă  commettre ce pĂ©chĂ©, cela n'est pas permis, elle devrait plutĂŽt Ă©tudier ce dont elle a le plus besoin pour ce qui est de ses intĂ©rĂȘts religieux et de sa vie ici- est suffisant et peut ĂȘtre gĂ©nĂ©ralement fait Ă  la maison. [3]Notes[1] Coran, 29/1-3[2] Coran, 4/59[3] KitĂąb Madjmu'atu Ass'ilat al-'Usrah al-Mouslima » - SHeikh Ibn 'UthaymĂźn, SyvsV.
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